Un beau jour, l’arbre est considéré comme mature. En tout cas, il est exploitable pour l’industrie. Alors on le marque et puis on le coupe. À la tronçonneuse ou à l’abatteuse, c’est selon. Et puis il devient de la biomasse, des palettes, des panneaux, des pellets, des cagettes, de la pâte à papier pour imprimer les promotions du Lidl. Mais quel profit l’homme retire-t-il des peines qu’il se donne sous le soleil?