Farah Hatoum, cinquante ans, vit à Nazareth, en Galilée. Sahar Khalifeh, jeune romancière palestinienne de Ramallah, vit en Cisjordanie occupée. Toutes deux, tout en étant très différentes, sont confrontées à la fois à l’occupation israélienne et aux obstacles que vivent les femmes dans les sociétés arabes. C’était la première fois qu’un réalisateur palestinien filmait lui-même son pays, à l’intérieur des frontières d’Israël d’avant 1967.
👉Entretien avec Michel Khleifi sur La mémoire fertile’, Catherine Arnaud, Mouloud Mimoun, 1981
👉La mémoire fertile. Un cinéaste en germe génère un passé chargé d’avenir’, Mouloud Mimoun, 1981